Engagé dans les défis de la bonne gouvernance qui se pose en Guinée tant sur le plan politique que socio-économique, la plate forme des Citoyens Unis pour le Développement, a ouvert ses portes à d’autres acteurs de la société civile afin d’inverser la gouvernance dans le sens vertueux.
C’est dans cette dynamique de rassemblement citoyen, que l’AJDIL, Association des Jeunes pour le Développement Intégré du Littoral a signé ce samedi 29 juillet un acte de partenariat et d’affiliation à la PCUD. La nouvelle structure, qui a adhéré ce samedi à la plateforme, a été créée en 2002 et agréé en 2014, est un mouvement qui défend la gestion rationnelle de la Nation et particulièrement la défense des intérêts du Littoral de l’axe Sonfonia-Cobayah-Yattaya-Lambanyi-Nongo-Kaporo-Kipé-et Tayouyah.
Selon le président de l’Association des Jeunes pour le Développement Intégré du Littoral, la PCUD, est la plate forme de la société civile capable de réunir la jeunesse et de parler en son nom. Donc « elle compte bénéficier non seulement des conseils de la structure, mais aussi contribuer avec elle à mener la lutte en faveur de la classe juvénile et pour la bonne gouvernance », explique Younoussa Camara.
Engagé dans un système de formation, d’information, d’éveil de conscience et de plaidoyer, le président de la PCUD a affirmé «que la société civile guinéenne doit devenir un véritable contre-pouvoir afin d’aider de façon pacifique à faire en sorte que la Guinée soit réappropriée par ses fils et juste pour tous ses enfants». Pour Abdourahmane Sano, l’Etat doit sortir dans, ce qualifie de domination d’une minorité qui gouverne et l’exclusion de l’écrasante majorité pour le bien-être de tout le monde. Il a ainsi demandé aux citoyens et associations qui ce sentent frustrés de la manière dont le pays est géré à se mobiliser et à se joindre à la PCUD dans la lutte commune pour un lendemain harmonieux du pays et de ses enfants.
Ibrahima Sory Cissé