Ils sont au nombre de 26 chefs d’Etat qui sont réunis à Lomé, au Togo, pour un sommet en vue de débattre de toutes les questions liées à la sécurité des personnes et leurs biens. Ce sommet regroupe les pays d’Afrique Centrale et de l’Ouest.
Pour le représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU pour l’Afrique Centrale, cette rencontre inédite va permettre de mettre en place un dispositif pour mieux protéger les deux sous-régions. François Lounceny FALL, indique, que « vous savez que les deux régions ont décidé de se rencontrer pour des raisons évidentes.
Je pense qu’elles ont des défis communs. Je veux parler de la lutte contre le terrorisme, la piraterie, les problèmes des transhumance, la circulation illicite des armes. Mais aussi le mouvement des mercenaires qui se déplacent de part et d’autres. Donc les chefs d’Etats étaient déjà attendus pour retrouver et discuter de ces questions. »
Ce sommet était l’un des plus attendus par la communauté internationale. Questions desquelles cette communauté internationale s’est toujours inquiétée, par rapport à leur résolution. « C’est un sommet qui a tout son pesant d’or. Il était très attendu par la communauté internationale. Particulièrement, au sortir de cette réunion, elle permettra de mettre en place un dispositif impressionnant pour la lutte contre ces fléaux, notamment, la déclaration de Lomé», ajoute le diplomate guinéen au service des Nations unies pour la Centrafrique.
Une synthèse d’Aliou Diallo