La fête internationale du travail serait sans fausse note si ces grabuges n’avaient pas éclaté entre centrales syndicales « rivales ». En effet, alors que la célébration rassemblait du monde, l’USTG version Abdoulaye Sow et le Slecg version Aboubacar Soumah ont été empêchés d’accéder au Palais du peuple. Les syndicats opposés à leur présence parlent de provocation
Il n’en fallait pas plus pour assister aux empoignades entre les deux camps. Les pierres fusent de partout. C’est donc la débandade. Chacun cherchent à sauver sa tête. On dénombré des blessés parmi les travailleurs venus célébrer le 1er mai.
Après plusieurs minutes d’affrontements, le calme est finalement revenu au Palais où les représentants du Slecg et de l’Ustg n’ont pas pu assister à ma fête.
Focus du déclic